Un jeune homme visite son enfance, une enfance volée auprès d’un père dont « le silence effrayant, un silence qui émane de (sa) bouche entrouverte comme celle d’un prédateur face à sa proie s’oppose à la volubilité indécente d’une mère atteinte de « bovarysme ». Malgré la peur de ce qu’il porte en lui, il tente de pardonner, de recoller les morceaux…